












Association sans but lucratif
Chers amis et adhérents,
La prochaine Assemblée Générale aura lieu le vendredi 14 février 2020 à 17h30 au siège social de l’association à Paris.
Nous présenterons le bilan annuel (rapports moral et comptable), les projets en cours et ceux à venir, ainsi que les différents axes de réflexion.
Nous procéderons bien sûr à la ré-élection des membres du bureau.
Pour ceux d’entre vous qui seraient disponibles et souhaiteraient participer à l’AG, et/ou qui auraient des idées/suggestions à nous soumettre, merci de envoyer un mail à solidarite.inde.nepal@gmail.com
Au plaisir de vous retrouver et d’échanger avec vous!
France
Nous sommes heureux de vous proposer cette année encore des produits de qualité qui pourront à la fois faire plaisir à vos proches, et participer aux projets menés par l’association au Népal.
Vous trouverez sur la boutique des sachets de curcuma bio disponibles en 2 modèles différents: sachets de 100gr/7€, et sachet de 250gr/12,50€.
Vous trouverez également des sachets de tisane ayurvédique bio. Cette tisane, excellente pour stimuler et renforcer l’activité cérébrale, est composée de 5 plantes himalayennes: le brahmi, la cannelle, le shankapushpi, le tulsi et la citronnelle. Chacune de ces plantes participe à une bonne santé des fonctions supérieures du cerveau, et agit notamment sur les capacités de concentration, de mémoire, sur la gestion du stress et sur une meilleure qualité de sommeil.
Cette tisane est disponible en sachets de 100gr/7€.
L’ensemble de ces plantes (à l’exception du Shankapusphi, cultivée un peu plus bas dans la vallée) ainsi que les racines de curcuma sont cultivées à Faskot par mon ami Panta Raj. Tout est cultivé à 1800 m d’altitude, sans usage de pesticides ni de fertilisants, et de qualité biologique.
Nous vous proposons aussi cette année de l’encens traditionnel, des petits pots d’épices et différents produits issus de la tradition ayurvédique comme des savons au Neem, au santal etc…
N’hésitez pas à consulter la page Facebook de l’association pour visualiser plus en détail les différents produits proposés.
Pour passer commande ou obtenir des informations complémentaires, vous pouvez nous contacter par mail: solidarite.inde.nepal@gmail.com
Nous vous souhaitons de très belles fêtes de fin d’année.
Namaste
Après une année 2018 chargée d’un point de vue professionnel (j’ai quitté mon poste d’infirmière à l’hôpital pour me former à l’Ayurveda, la médecine traditionnelle indienne, et m’installer en libéral en tant que praticienne en Ayurveda à Paris), je peux enfin souffler un peu et réinvestir du temps et de l’énergie pour les projets de l’association que j’avais laissés en suspens pendant quelques mois.
Je vais aller passer 1 mois au Népal et en Inde cet été, dont 3 semaines au Népal avec mon ami Panta Raj. Afin de préparer au mieux ce séjour, nous avons réfléchi ensemble aux besoins actuels des habitants du village de Faskot (40 kms au sud est de Kathmandu, soit environ 3h de bus). Pour mémoire, notre projet précédent avait consisté à apporter une aide financière à 2 écoles du village afin de construire des toilettes ainsi qu’un bâtiment supplémentaire pour l’une des écoles. Nous avions aussi participé à l’achat de matériel scolaire et sportif pour ces écoles.
Panta et les élèves de l’école Tamang de Tu Che Che
Ecole publique Bal Chetna-Faskot
Le projet auquel a réfléchi Panta et dont il m’a fait part consiste à permettre aux familles des élèves de ces écoles, dont la plupart sont de l’ethnie Tamang, de subvenir à leurs besoins de façon la plus autonome possible, sans avoir besoin d’attendre l’aide du gouvernement ou d’éventuels soutiens étrangers.
Les Tamang forment la 2ème ethnie la plus importante au Népal (environ 5,5% de la population népalaise), après les Magar. Ils sont de culture tibéto-birmane, et vivent principalement dans les collines autour de Kathmandu. Ils sont donc très présents dans le district de Kavrepalanchowk, auquel appartient le village de Faskot.
Village de Faskot
Stupa de l’école communautaire Tamang de Tu Che Che
Tamang signifie en tibétain vendeur de chevaux (Ta : cheval et Mang : vendeur). Ils parlent majoritairement le Tamang (très proche du tibétain), mais aussi le nepali. Ils sont traditionnellement bouddhistes.
La plupart d’entre eux vivent dans des conditions difficiles, sans être très bien intégrés à la population népalaise locale. Ils sont demeurés très pauvres, et travaillent le plus souvent la terre, avec un rendement et des résultats très médiocres qui ne permettent pas de faire vivre les familles convenablement. Avec le développement du tourisme, certains d’entre eux se sont spécialisés dans la confection d’artisanat tibétain comme les Tangkas, ces magnifiques tentures bouddistes qui ornent les temples et les maisons au Tibet. Certains sont aussi chauffeurs de rickshaws dans la vallée de Kathmandu.
Les Tamang sont parfois récalcitrants à envoyer les enfants à l’école, car ils ont besoin de main d’œuvre pour travailler dans les champs. En leur offrant une formation et un package de départ, nous leur donnons la possibilité de démarrer une activité différente qui leur assurera un revenu fixe et durable.
Femme Tamang et son fils de 15 mois
Le projet consisterait à mettre en place un élevage de poulets (chicken farming), d’abeilles et de lapins. Mais sans formation, acheter le matériel et les animaux ne sert à rien, en quelques semaines tout sera gâché.
Il est vraiment important de transmettre à chacun, que ce soit les enfants comme les parents, l’importance de l’éducation et de la santé pour vivre mieux. Cette formation permettra aux familles de bien intégrer ces données, et d’être partie prenante du programme.
Pour cette formation, nous ferons appel à des personnes qui connaissent à la fois ce type d’élevage, et qui sont aptes à transmettre ces informations à la population Tamang, dans leur langue, avec leurs codes culturels. C’est la condition sine qua non pour que çà fonctionne.
Le programme de formation aura lieu à Dulhikel, le chef lieu du district de Kavre. Il faut prévoir 2 jours/1 nuit sur place.
Budget à prévoir :
Donc au total, le budget global se situe entre 1465 et 1581€.
L’association dispose de fonds propres dont une partie va servir à financer ce projet. J’ai toute confiance en Panta, et je sais que sa grande connaissance du terrain et des besoins locaux lui permettent de cibler au mieux les attentes de la population de Faskot.
Je fais donc appel à votre générosité pour nous aider à mener à bien ce nouveau projet. Les fonds peuvent être versés directement sur le compte de l’Association, dans ce cas je vous transmettrai l’IBAN/RIB par email.
J’ai aussi crée une cagnotte sur Leetchi, à laquelle vous pouvez accéder via ce lien : https://www.leetchi.com/fr/c/rGQv4ejw
N’hésitez pas à en parler autour de vous et à partager le lien de la cagnotte. On le dit souvent, mais il est utile de le répéter : il n’y a pas de petit don, chaque euro est important et sera utilisé à bon escient par Panta et moi-même, lors de ma venue à Faskot au mois d’Août prochain.
L’essentiel de nos actions pour l’année 2017 s’est concentré sur le Népal, et le village de Faskot.
France CORROYEZ, fondatrice et présidente de l’association, s’était rendue au Népal en août 2015 afin d’évaluer les besoins sur place aux côtés de notre ami et contact local Panta Raj. C’est dans le village de Faskot (district de Kavrepalanchowk), à une quarantaine de kms de Kathmandu, que nous avions choisi d’implanter notre 1ère mission d’aide. Ce petit village rural, situé à 1800 m d’altitude, est composé de 26 maisons (environ 150 personnes), issues de différentes ethnies (principalement Tamang, mais aussi Chhetri). La majorité des villageois cultivent la terre, la plupart des jeunes hommes ont dû quitter le village pour partir en ville ou à l’étranger car la vie est très rude et la culture de la terre ne suffit pas à faire vivre les familles. La grande majorité des habitants restant à Faskot sont des personnes âgées, des femmes et des enfants.
Le projet initial, après concertation avec Panta, était de pouvoir fournir au village une alimentation électrique durable via l’équipement des 26 maisons en panneaux solaires. En effet, depuis des décennies, l’apport en électricité est un problème majeur au Népal. Installations vétustes, corruption des cadres et dirigeants de la société qui fournit l’électricité aux particuliers et aux industries, manque de volonté du gouvernement en place pour mettre un terme à des pratiques illégales…. Il se trouve que dans le même temps où nous étions en train de réfléchir à ce projet puis de le lancer de façon effective, la situation s’est considérablement améliorée, grâce à des changements intervenus au sein du gouvernement et de la société nationale d’apport en électricité, ainsi que la volonté de promouvoir les centrales hydrauliques et l’énergie solaire d’un point de vue gouvernemental.
Après concertation avec les villageois, il a semblé plus judicieux à Panta de nous informer de cette nouvelle donnée, et de réfléchir tous ensemble à ce qui pourrait être plus à même de répondre à un besoin prioritaire de la population, l’apport en électricité n’étant plus l’urgence pour le moment, même si la situation reste précaire.
Nous avons donc validé le projet proposé par Panta et les villageois, à savoir le soutien à 2 écoles du village, l’école Bal Chetna (école publique du village) et l’école Tu Che Che (école communautaire de l’ethnie Tamang).
Ecole Bal Chetna
Ecole Tu Che Che
La totalité des fonds récoltés lors de l’opération de financement participatif lancée à l’automne 2016 et ayant permis de recueillir plus de 6000 euros a été reversée à Panta pour le financement des projets suivants :
Les fonds collectés ont été versés à Panta au printemps 2017. Le matériel scolaire a été acheté et transmis en plusieurs fois aux 2 écoles, entre avril et octobre 2017.
Avril 2017
Panta-avril 2017
L’inauguration des toilettes des 2 écoles et du bâtiment supplémentaire à Tu Che Che s’est faite juste après Diwali, fin octobre 2017.
Bal Chetna-oct 2017
Tu Che Che dec 2017
Concernant les écoles Saddhamma à Bodhgaya dans l’état du Bihar en Inde, les nouvelles n’étaient pas bonnes dernièrement, car faute de subventions de la part des instances locales et gouvernementales en Inde, la famille Mishra ne pouvait plus faire fonctionner l’école sur ses seuls deniers. Et de notre côté, malgré l’aide ponctuelle apportée, nous avions fait le choix de privilégier le projet au Népal, pensant que la situation post séisme était plus précaire. Pour le moment, les écoles ne fonctionnent plus, mais le projet de Saddhamma est bien évidemment de rouvrir ces écoles au plus vite. Je suis en contact avec Navneet Kumar Mishra, le fondateur de Saddhamma, et nous allons réfléchir ensemble au meilleur moyen à mettre en œuvre pour faire fonctionner de nouveau ces écoles au plus vite, d’abord celle de Bodhgaya, puis celle de Bela.
École Saddhamma à Bodhgaya-2014
École à Bela-2014
Enfants du village de Bela-2014
Ecole Saddhamma à Bodhgaya-2013
Ecole Saddhamma à Bodhgaya
En termes de rescrit fiscal, permettant aux donateurs de bénéficier d’une réduction d’impôts, nous allons présenter de nouveau le dossier début 2018 devant la commission qui gère cela au niveau de la direction des finances publiques. Le reproche qui nous avait été adressée l’an dernier (pas de projets effectivement réalisé) ne pourra plus nous être fait cette fois-ci puisque le projet à Faskot est achevé.
A moyen terme, je souhaite pouvoir me rendre en Inde et au Népal courant 2018 afin de faire un point précis sur place de la situation avec nos contacts locaux (Navneet en Inde et Panta au Népal), ceci afin d’évaluer les besoins et la faisabilité de nos actions futures.
Je propose de ne pas valider de projet tant que l’un ou l’autre des membres du bureau ne s’est pas rendu sur place, ceci afin d’éviter des erreurs de compréhension ou d’interprétation de la situation sur place.
Selon ce que me dira Navneet, il sera néanmoins possible je pense de mettre en place l’opération de parrainage non nominatif pour les élèves, si tant est que l’activité éducative mise en place depuis 2010 puisse reprendre. Cette opération de parrainage sera à évaluer aussi pour les élèves des écoles népalaises à Faskot.
Ré-ouverture de la boutique pour Noël
Ré-ouverture de la boutique dans le cadre du festival du Népal à Paris début Juin 2017 !!! Des idées de cadeaux à petits prix pour les petits et les grands !
Ce projet porte sur le soutien éducatif, logistique et sanitaire pour 2 écoles du village :
« Shree Bal Chetna » est l’une des écoles primaires publiques dans le district de Kavre/Patichaur où 28 élèves étudient. Quatre professeurs enseignent dans cette école et une personne en assure le secrétariat. Ils ont un peu de matériel éducatif mais pas de matériel pour le sport. Les professeurs sont bien qualifiés et plutôt bien payés. Le terrain de jeu est suffisant mais il manque des toilettes correctes pour les élèves. Jusqu’à présent, le gouvernement s’occupe de l’école, avec le soutien des habitants.
Quelle aide apportons-nous à cette école ?
Le personnel enseignant pourra dispenser les cours dans de meilleures conditions avec plus de matériel pédagogique. Les élèves auront des toilettes plus confortables et propres. Le comité directeur de l’école assurera la gestion de l’école et du matériel sur le long terme.
Budget total du projet : 2126.35€ (cliquez ici pour avoir le descriptif du budget)
Le matériel scolaire, éducatif et sportif a déjà été distribué à l’école. La construction des toilettes est prévue pour fin mai/début juin.
« Thu Che Che Community School » est une école primaire communautaire du village de Chisapani dans le district de Kavre, village mitoyen de Faskot. L’enseignement est donné aux 22 élèves en anglais et en dialecte local tamang.
Trois professeurs y enseignent actuellement jusqu’au niveau trois (environ 10 ans maximum) et il n’y a pas de secrétariat. Deux cours différents se déroulent dans la même salle en même temps et donc l’école manque d’espace pour accueillir les élèves dans de bonnes conditions. Le matériel sportif et éducatif est par ailleurs quasiment inexistant.
L’école manque également de mobilier obligeant certains enfants à s’asseoir par terre dans la salle de classe.
Il n’y a qu’un seul WC temporaire réservé aux enseignants et les élèves sont obligés de sortir dehors dans la nature.
Pour ce type d’école communautaire, le gouvernement donne uniquement une petite somme d’argent, et donc la communauté qui est très pauvre doit gérer elle-même le fonctionnement, et le salaire des enseignants est très bas.
Quelle aide apportons-nous à cette école ?
Les élèves auront ainsi la possibilité d’étudier dans un environnement plus «confortable et propre» et le personnel enseignant pourra dispenser les cours dans de meilleures conditions. La communauté Tamang assurera la gestion de l’école et du matériel sur le long terme.
Budget total du projet : 4224.25€ (cliquez ici pour avoir le descriptif du budget)
Le matériel scolaire, éducatif et sportif a déjà été distribué à l’école. La construction des toilettes et d’une salle de classe supplémentaire est prévue pour fin mai/début juin.
Trois élèves de cette ethnie Tamang vont dans un village un peu plus loin pour continuer leurs études au niveau supérieur. Ils sont motivés et de bons élèves, donc nous pourrons également réfléchir par la suite à la possibilité de les aider à poursuivre leurs études, leurs familles étant très pauvres.
Sabina (classe 6)
Sonam (classe 6)
Subodh (classe 5)
Cliquez ici pour voir la video avec les enfants dans l’une des classes 🙂
La situation actuelle au Népal, tant politique qu’économique, évolue constamment et ce de façon imprévisible.
Alors que nous étions prêts à lancer le projet d’installation de panneaux solaires, avec notre ami et contact local Panta Raj, celui-ci nous a informés d’un changement récent dans l’alimentation électrique des foyers népalais, tant à Katmandou que dans le reste du pays. Le gouvernement népalais a finalisé récemment un partenariat avec l’Inde concernant l’électricité, et depuis les coupures sont quasi inexistantes avec un accès à l’électricité une très grande partie de la journée, en tout cas suffisamment pour l’usage domestique usuel.
Ce qui était une priorité il y a 18 mois pour les villageois de Faskot est donc devenu secondaire.
Suite à ce changement de situation imprévue et inespérée, nous avons demandé à Panta de nous proposer un projet alternatif à budget équivalent, en concertation avec les villageois.
Ce projet porte sur le soutien logistique et sanitaire pour 2 écoles du village.
Pour lire le descriptif de ce projet éducatif, lire la suite.
Descriptif du projet initial d’installation de panneaux solaires:
Ce petit village Népalais est situé à 1800m d’altitude dans le district de Kavrepalanchowk à environ 60 km à l’est de Katmandou, où 150 personnes y vivent actuellement.
Bonjour à toutes et à tous,
suite à notre Assemblée Générale qui a eu lieu dimanche 18 septembre 2016 sur Paris; France, Ivan et Sophie ont le plaisir de vous annoncer l’ouverture des adhésions pour 2016/2017.